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Vous trouverez ci-dessous des conseils de lecture. Certes je n’en mets pas beaucoup car si je devais tout mettre, il faudrait pousser les murs ! 

Un roman de Michel Bussi ! Eh oui, je parcours souvent TOUS les livres d’un auteur (j’en ai lu beaucoup d’autres de cet auteur. Je vous en parlerai dans un autre article). C’est bien pour se forger une idée et encore une fois, je n’ai pas été déçue pas ce roman dont le qualificatif approprié est : passionnant.

Bien écrit, comme toujours avec cet auteur, ce livre vous emporte sans vous lasser. Le cadre de l’histoire, exotique : l’île de la Réunion appelée à raison « l’île intense ». Martial y passe des vacances en compagnie de son épouse Liane et de leur fillette Josapha. Sa femme disparaît rapidement et tout pousse les enquêteurs à penser que Martial n’est pas étranger à cette disparition voire à ce meurtre car même s’il n’y a pas de corps, il y a du sang et des témoignages l’accablent. Une solution : fuir. Un obstacle et de taille : la fillette. Comment disparaître facilement en traînant avec soi une fillette ?

Bussi a réussi ce tour de force de rendre les enquêteurs sensibles, intéressants et quand l’un d’eux est confronté à l’impensable (la disparition d’un être cher), on sent que le personnage principal, dont on se doute de l’innocence depuis le début, est aux prises avec un tueur machiavélique, prêt à tout !

Le dénouement que je tairai ici est somptueux, sensible, logique (et c’est ce que j’apprécie car parfois certains auteurs bradent le dénouement alors que je le considère essentiel. En effet, il est si facile d’imaginer une histoire romanesque. En revanche, il est bien plus ardu de tendre vers une fin efficace, qui ne laisse aucune indice évoqué sur le côté. C’est ce que fait Bussi,  qui s’ingénie remarquablement à créer une histoire plausible, dirigée vers une fin implacable qui entraîne le lecteur sur les pas du personnage poursuivi, menacé, le tout à un rythme mené tambour battant.

Mon roman préféré reste, chez cet auteur, « Nymphéas noirs », dont j’ai déjà fait la critique. Si j’ai vraiment apprécié « Ne lâche pas ma main »,  « Nymphéas noirs », mené d’écriture de maître, le surpasse largement. Actuellement, je suis en train de lire « J’ai dû rêver trop fort », du même auteur. Je vous en parlerai plus en détails une autre fois car je n’ai pas fini ma lecture. Toutefois, je dois dire que le récit m’intrigue. Je m’interroge encore par rapport au titre et je brûle parfois d’envie de lire la fin avant d’y arriver afin de comprendre pourquoi l’héroïne se retrouve dans une telle situation, à 20 ans d’intervalle , bousculée par une série de coïncidences inexplicables. Je n’en dis pas davantage !

Je recommande donc la lecture de « Ne lâche pas ma main » et je nourris un souhait humble ici : que M. Bussi, qui a connu un parcours identique au mien en ses débuts puisqu’il est resté longtemps dans l’ombre, lise cet article que je lui consacre et qu’il m’aide à être révélée. Sait-on jamais puisque l’espoir fait vivre ! Ma bouteille à la mer est lancée même si je ne me berce pas d’illusions. Mes prochains romans seront présentés à des éditeurs de renom (ce que je n’ai jamais fait puisque je m’auto-édite) et participeront aux concours les plus connus car, vous l’avez compris, bientôt je vais avoir le temps de me consacrer à développer la promotion de mes livres etc.

Merci à toutes et à tous de suivre ce blog, merci pour vos partages, vos commentaires et je vous rappelle l’importance de mettre vos avis sur mes romans sur Amazon, Babelio, Decitre… bref sur toutes les plateformes où vous les achetez ou encore d’en parler au libraire où vous avez acheté votre roman. C’est un tremplin pour les auteurs.

Audrey Degal

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Stieg Larsson, Millénium 1, 2, 3

  • Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes
  • La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette
  • La Reine dans le palais des courants d’air

Guillaume Musso, Central Park.

Les Restos du coeur, « 13 à table ».

Lois Lowry,  Le Passeur (The Giver).

Raymond Khoury, Le Dernier templier.

Pierre Bordage, Ceux qui sauront.

Pierre Bordage, Ceux qui rêvent.

Pierre Bordage, Ceux qui osent.

Guillaume Musso, Et Après,

Guillaume Musso, Sauve-moi.

Guillaume Musso, Que serais-je sans toi.

Guillaume Musso, Je reviens te chercher.

Guillaume Musso, Parce que je t’aime.

Guillaume Musso, La fille de papier.

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MILLENIUM, de Stieg Larsson

Je me devais de vous parler d’un des piliers de ma bibliothèque, Millénium 1 Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes de Stieg Larsson.

En fait le titre ne m’attirait pas vraiment et je pensais au passage de l’an 1999 à 2000 à l’occasion duquel on nous avait rebattu les oreilles avec ce terme « millénium ». 

Ensuite, quelqu’un qui était en train de le lire m’a résumé l’intrigue et je me suis dit « pourquoi pas ». 

J’avoue que les 170 premières pages (et ce n’est pas rien !) d’un livre qui en comporte tout de même 711, j’ai eu envie de fermer le roman. L’avalanche de détails ne m’intéressait guère et l’intrigue par elle-même traînait trop à mon goût. Bien m’a pris de poursuivre ma lecture car quand les péripéties se sont enfin déclenchées et que le mystère est apparu, je n’ai plus lâché le livre, voulant savoir ce qu’il advenait. Ensuite, tel un ogre, je l’ai dévoré, courant rapidement chez le libraire du coin pour acheter les suites déjà parues, soient les tomes 2 et 3 qui ont d’autres titres  : Millénium 2, La Fille qui rêvait d’un bison d’essence et d’une allumette et Millénium 3, La Reine dans le palais des courant d’air.

Je ne vous cache pas que l’oeuvre existe en film, lequel s’il m’a tout de même intéressée, souffre de suppressions malvenues (par exemple le lien entre Mickael et Erika…) et de portraits des personnages principaux trop édulcorés. Bref, le film est bien plat par rapport au roman qui comporte davantage de rebondissements, d’analyse, de questions.

Brièvement : dans le tome 1, le héros, le journaliste Mickael Blomkvist est en voie de perdre un procès contre un redoutable homme d’affaires. Il reçoit une proposition d’enquête de la part d’un homme puissant (VANGER), proposition qu’il accepte avec la promesse de révélations qui l’aideront dans son procès. Parallèlement on découvre une jeune fille étrange, Lisbeth Salander dont on comprend qu’elle est d’une redoutable intelligence même si c’est une marginale. C’est grâce à elle qu’il élucidera l’affaire Vanger. Il fera perdre la face à ses accusateurs lors de son procès… Sur fond d’enquête minutieuse, d’énigmes, de dangers, l’histoire évolue vers un dénouement redoutable.

Dans le tome 2, devenue riche grâce à son seul QI,  Lisbeth a disparu. L’auteur nous surprend tout d’abord en nous plongeant dans l’univers sordide de l’enfance de Lisbeth, internée malgré elle et soumise à la folie du médecin psychiatre qui la soigne (enfin soigner est un grand mot). Elle est sous tutelle depuis sa sortie d’internat et doit rendre des comptes à un homme peu scrupuleux. Pourquoi ce titre me direz-vous ? Parce que Lisabeth a la personnalité bien trempée a voulu immoler son père par le feu car celui-ci faisait souffrir sa mère. Lisbeth n’hésite pas à passer à l’acte. Contrainte de se défendre contre tous depuis l’enfance, elle est redoutable sans être Tomb Raider non plus ! Le lecteur est emporté dans un meurtre que la police impute à Lisbeth pourtant innocente et on découvre un trafic de filles venues de l’Est. Le journaliste voulait faire surgir tout ceci à la une. Bien entendu il en sera empêché. Le rythme de ce second volume est effréné (bravo Stieg Larsson !). On ne se lasse pas une seule seconde. 653 pages… oui, vous avez bien lu mais 1) c’est écrit gros et 2) on ne les sent pas passer. Attendez-vous à ce que votre conjoint ou conjointe vous demande d’éteindre la lumière parce qu’il veut dormir tandis que vous voulez avancer dans l’histoire. Lisbeth menacée par un père défiguré et abject, par un frère ignoble insensible à la douleur voit sa vie basculer. On lui tire dessus et on l’enterre… oui, oui, on l’enterre !

Dans le tome 3, rassurez-vous elle n’est pas morte (7 vies comme les chats !) mais elle est coincée dans une hôpital comme son père qu’elle a encore voulu tuer, grièvement blessée et surtout avec en ligne de mire un redoutable procès qui l’attend.  Ses amis, dont le journaliste Mickael vont l’aider bien qu’elle soit une solitaire. Des secrets d’Etat jaillissent, des personnalités sont incriminées, la lutte sera rude pour balayer et faire disparaître les être malfaisants que Stieg Larsson a savamment imaginés.

Quant à Millénium 4 écrit par un autre auteur… je ne m’y suis pas encore aventurée.

Comme d’habitude, je ne vous révèle pas la fin, ce serait comme un bouquet offert fâné, mais je vous recommande cette lecture envoûtante et excellemment menée par son auteur disparu brutalement avant même de voir ce chef-d’oeuvre édité !

Excellente lecture !

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Guillaume Musso, Central Park.

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Alors que son dernier roman vient de sortir, j’ose vous parler de l’avant dernier. Oui, parce que c’est celui que je viens de finir. Et oui c’est encore Musso ! 

Voyez-vous ses intrigues sont prenantes et je me suis dit « j’en lis encore un ». Et puis, je l’envie, ce monsieur. Non parce qu’il sait écrire, ce qui est un fait, mais parce qu’il est connu et reconnu… Patience Audrey me dis-je, patience !…

Donc Central Park est un roman de 383 pages (mais comparé à mon roman Le Lien) le nombre de pages est identique (c’est une question de police de caractères et de mise en page). Force est de constater que l’on ne s’ennuie pas.

Dès le début de l’intrigue on se demande : « Mais comment sont-ils arrivés là ? ». La quatrième de couverture nous l’annonce pourtant mais il est vrai que deux individus, reliés l’un à l’autre, qui ne savent pas ce qu’ils font enchaînés en ce lieu, qui ont de surcroît des traces de sang sur leurs vêtements et des chiffres gravés à même la peau sur l’avant bras, c’est surprenant ! Et l’on se pique au jeu de piste que mène l’héroïne, officier de police.

Les analepses rhétoriques (retours en arrière) sont les bienvenues pour expliquer le passé de celle que nous prenons en affection, Alice. Les pointes de mystère sont aussi présentes avec le second personnage, Gabriel, flou, énigmatique, menteur, dont on ne sait si c’est pour la bonne cause ou pour mieux faire tomber Alice dans un piège qui semble l’attendre à chaque chapitre. 

Pour couronner le tout, un tueur en série vient jeter le trouble sur nos certitudes et l’on en vient à soupçonner un peu tout le monde : le père d’Alice, son coéquipier de toujours Seymour… Bravo Musso, c’est bien pensé !

L’intrigue emporte donc le lecteur sans aucune difficulté. Au fil des pages vous n’aurez de cesse que de finir le roman pour connaître la vérité, fort bien ficelée par Guillaume Musso, je dois dire. L’enquête est minutieuse, haletante, progressive. 

La seule – petite – ombre au tableau réside dans les pages qui précèdent le dénouement qui, s’il est d’une logique implacable, teintée de surcroît d’émotion, m’a quelque peu déçue. En effet, c’est à mon sens, un voile triste, presque sordide que Musso jette sur son histoire, à la manière de son premier roman Et Après. Le lecteur espère, espère encore et toujours mais… l’inespéré ne se produit pas.  Mais cela ne tient qu’à moi. J’aurais préféré une fin plus positive, moins dramatique… Je pense d’ailleurs que Musso l’a ressenti ainsi puisqu’il a ajouté un dernier chapitre, lequel atténue le sentiment négatif que j’éprouvais. 

En conséquence, je vous recommande la lecture de ce roman Central Park. Vous ne regretterez pas de vous y plonger et vous passerez d’agréables moments. 

N’oubliez pas que lire des livres délivre ! Alors lisez Musso ou mes livres (voir en page d’accueil). 

Bonne lecture !

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« 13 à table », Les Restos du coeur.

J’en ai entendu parler. C’était pour la bonne cause… je j’ai acheté :
« 13 à table », Les restaurants du coeur

Comment, quand on aime lire, ne pas joindre l’acte d’achat à l’agréable ? Avec 13 à table », pour chaque livre acheté trois repas seront distribués. J’aime l’idée. Je vous invite donc si vous ne l’avez pas encore acheté à vite rectifier cette erreur ! Ne nous montrons pas égoïstes surtout à l’approche des fêtes. Etre heureux c’est aussi vouloir aider les autres. Quoi ? Vous murmurez ? Il me semble vous entendre dire : « Je vais l’acheter » ou « Plus tard » ou « Il faut que j’y pense »…
Non, non, on ne remet pas au lendemain ce que l’on peut faire aujourd’hui c’est-à-dire que l’on ne rentre pas chez soi sans avoir fait la démarche d’acheter ce petit livre (5 modestes euros) même s’il faut faire un détour. Et puis dites-vous qu’ensuite, une fois cette bonne action accomplie, vous serez content, voire fier…
Je vous disais donc que j’ai acheté « 13 à table », ce recueil de nouvelles. Il faut dire que des pointures de l’écriture se sont mises au travail pour réaliser ce livre. Je n’en citerai que quelques-unes : Musso (je vous ai déjà parlé de lui), Levy, Bourdin, De Rosnay… Etant donné le titre, j’imagine que chaque auteur a écrit une nouvelle relative à un repas et que chacun l’a rédigé à sa sauce, si j’ose dire. Et bien non ! Il n’est pas toujours question de repas.
Donc je prends mon livre, je tire mon voltaire, je cale un coussin dans le creux de mes lombaires et je tourne les premières pages, prête pour le décollage. Sauf que je n’ai pas encore décollé.
La raison ! Je commence par lire le début (je ne suis pas une originale vous direz-vous) avec l’histoire de Françoise Bourdin « Olympe et Tatan ». Je trouve le titre ringard mais après tout il se cache peut-être quelque saveur là-dedans. Un repas de Noël, une invitation, les vieux griefs que tous se vouent dans une famille qui font surface, l’hypocrisie est de la partie et tout ce beau monde se sépare. Fin du récit. Bon, rien d’exceptionnel. Je ne ressens pas le plaisir de la lecture. Qu’à cela ne tienne : un recueil de nouvelles permet une lecture dans le désordre aussi je me propulse à la page 147 pour lire la nouvelle de Musso « Fantôme ». Le titre suscite d’emblée ma curiosité. Premières pages : ça commence pas mal : une femme qui apprend deux bonnes et une mauvaise nouvelle. Elle enquête car elle a rencontré un fantôme. Je suis emportée par le récit, je lis, j’avance. Tiens, me dis-je soudain en jetant un oeil sur les pages 174 et 175 qui se font face, l’histoire s’achève dans quelques lignes. Mais comment tout ceci peut-il être bouclé si vite ? Comment l’énigme va-t-elle être résolue ? Seul un maître dans l’art décrire peut, en quelques paragraphes, mener l’intrigue à son terme de façon exceptionnelle. Hélas, trois fois hélas. L’exceptionnel ne plane pas en cette fin de « Fantôme » et je suis restée sur ma faim, face à un sentiment d’inachevé, de bâclé, de récit écrit à la « je m’en débarrasse ». Quelle déception ! Je me retranche alors chez Lévy que je n’apprécie pas toujours mais bon. Certains de ses romans m’ont permis de m’évader. Le titre « Dissemblance », présente une histoire essentiellement dialoguée. Le thème de la discussion ? Devinez ! La dissemblance de deux êtres et le pourquoi de leurs différences. Sauf que (encore une fois) la deuxième page lue on a compris où l’on allait arriver et force est de constater que je ne me suis pas trompée. Décevant ! Inintéressant !
Alors direz-vous et les autres histoires ? Je dois les lire mais je me demande si ce ne seront pas simplement des lignes juxtaposées, sans réel intérêt narratif.
La critique est aisée, l’art est difficile, c’est vrai et vous pouvez me trouver bien présomptueuse d’oser tirer sur ces auteurs rompus au « best seller ». Peut-être mais il me semble que soit j’en demande trop et l’essentiel est de faire des bénéfices pour les restos du coeur, ce qui est tout à fait louable, soit ils se moquaient du récit et de la qualité de leurs intrigues qui de ce fait est passée à la trappe. Après tout, ils n’en tiraient pas de bénéfice. Sont-ils excusables pour autant ? Je vous laisse le soin de trouver votre réponse à cette question.

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je vous demande malgré tout d’acheter ce livre « 13 à table » car tous les goûts étant dans la nature, peut-être aimerez-vous ! Mais plus loin que ces histoires ce sont les repas qu’il faut voir à l’horizon car ne pas manger ou mal manger quand en plus il fait froid c’est tout simplement atroce et l’indifférence ne doit pas animer les hommes du XXIème siècle que nous sommes.

Je terminerai cet article en disant simplement qu’il m’aurait bien plu, à moi, d’offrir un récit concocté pour l’occasion au profit des Restos du coeur et d’apparaître dans « 13 à table ». Mais on ne m’a rien demandé, logique, je ne suis personne. Décidément, les voies de l’édition sont impénétrables !

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Lois Lowry,  Le Passeur (The Giver).

Comment ne pas vous parler aujourd’hui du « Passeur » puisqu’il le film est actuellement sur les écrans de cinéma sous le titre « The Giver » ? 

C’est un livre que j’ai lu il y a longtemps car il est sorti en 1993. Je m’y suis plongée à l’époque par curiosité puis j’ai décidé de le faire lire voire étudier à mes élèves qui l’ont toujours apprécié. Roman d’adolescence certes mais tout aussi divertissant pour les adultes. C’est une oeuvre qui se lit très facilement. 

Quelle n’a pas été ma surprise lorsque j’ai vu qu’on la sortait en version cinématographique. Ni une ni deux, je suis allée la voir au cinéma et mon mari qui avait aimé la lecture du roman m’a accompagnée. 

Bon, ce ne sera pas une surprise si je vous dis que le film « The Giver » est moins intéressant, bien moins intéressant que le livre et qu’il présente bien des différences. Il se laisse voir mais sans plus, manquant de profondeur, empruntant des « déjà vus » – vous repenserez au film beaucoup plus captivant « Divergente » – et puis la fin, cette fin, bâclée, et sans commune mesure avec celle du roman qui laisse une porte ouverte et des doutes. Dans le film « The Giver », le héros parvient à rompre l’isolement de la société dans laquelle il vit en franchissant une « barrière » immatérielle ». On se demande bien comment cela est possible même dans un récit de fiction. C’est un peu trop facile et tout s’arrête par enchantement !!!! Du coup on s’approche du film pour public  jeune alors qu’il semble s’adresser à un public plus mûr. Cherchez la contradiction ! Et je ne m’attarderai pas sur les autres sentiers simplistes empruntés par le film. S’il est à l’affiche, je doute qu’il y reste longtemps…

Le roman quant à lui, pose un problème et invite le lecteur à y réfléchir même si le thème a depuis inspiré bien d’autres romanciers ou d’autres metteurs en scène. Est-il concevable de priver les hommes de leur libre arbitre, de leurs désirs, de les empêcher de percevoir la réalité des choses pour atteindre ce qui ressemble à la paix ? Vous voyez sans doute qu’en écrivant ceci je m’approche encore une fois du film « Divergente » (et je me demande s’il ne serait pas intéressant de créer dans ce blog une page « cinéma » puisque littérature et cinéma sont souvent très proches, la première inspirant souvent le second. 

L’histoire :

Jonas, le héros, doit assister à la cérémonie en vue d’une attribution de fonction comme tous ceux de son âge dont ses amis. En effet, observés depuis leur plus jeune âge, on détermine pour ces adolescents leur devenir en leur disant quel métier ils exerceront. Chacun se voir attribuer son rôle sauf Jonas voué à devenir « le passeur », mission obscure pour tous ! Il prend contact avec l’ancien passeur qu’il remplacera dans ses fonctions. Il peut désormais se soustraire à certaines obligations, lesquelles s’appliquent pourtant à tout  individu dans son monde. Il pourra mentir et ne devra plus avoir recours à l’injection qui empêche de voir les couleurs et annihile les sentiments. Ainsi, il tombe amoureux de son amie d’enfance, l’invitant à faire de même, et comprend que l’élargissement dont tout le monde parle comme d’un moment de bonheur est finalement une exécution légale. Aussi lorsque le bébé que sa famille a recueilli, Gabriel, doit être élargi parce qu’il n’entre pas dans les normes, Jonas se rebelle (On songe à nouveau à « Divergente », puisque l’héroïne n’a le profil pour aucune faction  et qu’elle va se révolter). De plus la mission de Jonas en tant que passeur est de détenir la mémoire : mémoire d’un passé heureux certes mais aussi celle des guerres et des atrocités dont les hommes sont capables. Bien entendu, il fait le lien avec l’élargissement et comprend que le monde aseptisé dans lequel il vit ne vaut pas mieux que l’ancien. Problème, lui et l’ancien passeur (de mémoire) sont les seuls à le savoir. De fait les dirigeants finissent par voir en eux des ennemis (c’est encore le cas de « Divergente »). Jonas doit sauver Gabriel, celle qu’il aime et ouvrir les yeux à tous les autres. Or ceci dans le roman se passe de façon logique, progressive, c’est une entreprise difficile dont toutes les étapes et leurs embûches sont racontées alors que dans le film « The Giver » tout est trop rapide, inconsistant et finalement bien insipide !

A vous de voir si j’ose dire mais selon moi le livre si « Le Passeur » mérite le détour, pour « The Giver », passez (jeu de mots décidément) votre chemin ! Et n’oubliez pas que je sollicite votre avis pour une rubrique cinéma tout en vous invitant à vous inscrire sur mon blog, à partager, et à « liker ». Merci à vous. 

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RAYMOND KHOURY, Le Dernier templier.

Je conseille vivement la lecture de ce roman captivant. Pas une ligne ne vous laissera indifférent. Cette lecture est un pur régal !

Certes, il a été adapté au cinéma et encore assez récemment une chaîne de télévision française a diffusé « Le Dernier templier »  que je me suis empressée de regarder, déjà passionnée par le roman.

Film sympathique mais décevant – c’est si souvent le cas ! – car il y manque des aventures et trop de scènes aux décors splendides imaginés par Raymond Khoury se passent dans des lieux plus faciles à filmer et moins coûteux pour le tournage. Quel dommage ! Mais venons-en à l’histoire.

Dès les premières pages vous êtes happés par la narration et pour cause : En plein New York et au grand jour, des cavaliers revêtus tels des templiers surgissent et sèment la terreur dans un musée alors qu’il y a foule. Ils cherchent quelque chose. Dès lors le lecteur s’interroge et veut connaître la suite. L’héroïne, Tess doit se cacher pour leur échapper. Une enquête suit qui va entraîner un agent du FBI et Tess à l’autre bout du monde sur les traces des Croisés. Le Vatican, menacé envoie lui aussi ses hommes. Les intentions de ces derniers ne sont pas toujours louables. Une histoire d’amour se mêle à l’affaire, douce et savamment distillée par l’auteur.

Ainsi, à travers se roman, vous partirez bien loin de vos horizons quotidiens (quoi de mieux pour se délasser – lire aussi mes histoires peut-être !!! -), vous naviguerez sur les mers, débarquerez en des contrées inconnues, fuirez face à la menace, plongerez dans un lac perdu au milieu de nulle part (scène palpitante pourtant supprimée dans le film) pour espérer découvrir ce que vous êtes venu chercher… Le récit fait aussi la part belle à deux temps narratifs : l’un se déroulant à  l’époque actuelle, l’autre en 1200, ce qui ne manquera pas de plaire à toutes celles et ceux qui adorent, comme moi, cette époque, le Moyen Age, les chevaliers, les combats, la chrétienté… Bien entendu les deux époques ont un lien entre elles et peu à peu le lecteur comprend que ce qui s’est passé voilà des siècles est en relation avec la quête des héros. De complots en enquêtes et en rebondissements, vous ne verrez pas le temps passer.

Alors, si vous voulez passer un agréable moment de lecture, si vous souhaitez une évasion totale, si vous avez envie d’oublier vos problèmes ou tout simplement si vous avez envie de lire, n’hésitez pas et, outre mes histoires, lisez ce roman de Raymond Khoury, Le Dernier templier (traduit de l’anglais). Vous le trouverez facilement en éditions « pocket », isbn 978-2-266-17154-0.

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PIERRE BORDAGE, CEUX QUI SAURONT

Le premier roman dont je souhaite vous parler est celui de Pierre Bordage, « Ceux qui sauront ».

On me l’a offert. Youpi ! Le titre m’a intrigué, piquant ma curiosité : ceux qui sauront quoi ? est la question qui découle immédiatement du titre.

Avant toute chose, ce n’est, a priori, pas un roman pour adultes mais plutôt pour adolescents. Je dirai a priori seulement. Certes les adolescents s’y reconnaîtront et beaucoup de mes élèves à qui j’ai conseillé la lecture l’ont apprécié. Et puis surprise, les adultes se laissent aussi entraîner par une histoire originale dont la narration reste toutefois simple comme la phraséologie. J’ai moi-même vivement apprécié cette lecture, et parmi mes connaissances (adultes donc) d’autres ont adoré le roman.

Entrer dans ce livre c’est assurément avoir envie de dévorer la suite pour savoir ce qu’il advient des ceux personnages principaux que tout oppose. Ils vivent dans un monde fictif qui rappelle pourtant, en bien des points, le nôtre. On y reconnaît en effet des références à notre passé historique français, sans que ces précisions ne viennent alourdir le texte et l’on est en même temps propulsé dans un univers qui n’existe pas. L’analogie s’impose et la critique est sous jacente, riche, perspicace.

Jean appartient à une catégorie sociale si différente de Clara que l’on se demande comment ils pourraient bien se rencontrer. Tous deux vont découvrir et décrypter leur monde, s’apercevant qu’il est profondément injuste quel que soit le milieu auquel ils appartiennent. Le lecteur tremble à chaque fois qu’ils osent entreprendre ce qui est interdit, chaque fois que le danger les guette, chaque fois qu’ils se battent pour être heureux et libres de s’aimer. Le récit rebondit, les certitudes vacillent et l’envie de les aider dans leur quête naît rapidement, durablement. L’on se laisse emporter facilement (peut-être gage d’une qualité moindre diraient certains, mais lecture fluide et dynamique) par les phrases jusqu’à la fin du récit pour comprendre ce qu’ils « sauront ». Car finalement sont-ils « Ceux qui sauront » ?

Vous en dire davantage anéantirait le charme de la lecture. Aussi il vous revient de décider de vous plonger dans ce livre ou pas. Ce qui est certain, c’est qu’avec cette histoire qui comporte deux suites que j’évoquerai plus succinctement, vous voyagerez.

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Pierre Bordage, Ceux qui rêvent.

Si vous avez été tenté par le premier tome de « Ceux qui sauront », je me devais de vous parler de la suite, « Ceux qui rêvent »

Dans cette seconde partie, Jean et Clara ont réussi à éviter les pièges qui jalonnaient leur chemin. Ils vivent cachés, certes mais heureux, dans cette France atemporelle où les plus démunis, dont ils font désormais partie, ne peuvent rien. Clara a pourtant renoncé au luxe de son existence passée, bien décidée à ouvrir les yeux. Et, pour comprendre le lien avec « Ceux qui sauront »,je dirai que tous deux savent désormais que le bonheur ne réside pas dans l’argent, ni dans le fait de fermer les yeux et pour Jean, il repose aussi sur le savoir, savoir dont lui et les siens ont toujours été privés. Il est si facile de diriger de main de maître un pays en refusant l’accès à la connaissance au peuple !
Cependant, le père de Clara, un homme riche extrêmement puissant n’a pas renoncé à rechercher sa fille. Aussi la fait-il enlever, non pour la soustraire à un péril, mais pour la marier à un individu méprisable mais influent, Alfred Maxandeau. Elle se retrouve donc de l’autre côté de l’Atlantique, prisonnière, dans un des cinq royaumes qui couvrent ce que nous appelons les Etats-Unis. Là, les esclavagistes sévissent.
Mais Jean, ne renonçant jamais, se met en quête de celle qu’il aime afin de la soustraire aux griffes de son despostique futur époux. Il va rencontrer en chemin un personnage capital, Elan Gris, un Indien que l’on retrouvera en sa compagnie dans la troisième et dernière partie du roman.
Le salut de ces deshérités semble possible s’ils gagnent le pays de l’Arcanecout, pays libre où chacun peut retrouvrer l’espoir…

Bien entendu, je ne vous ai pas révélé toutes les particularités du récit de Pierre Bordage, ni la fin. Les aventures du jeune couple se suivent avec facilité et le mystère comme le suspense invitent à poursuivre la lecture pour savoir si Jean et Clara vont se retrouver, s’ils vont pouvoir être heureux. Le titre, « Ceux qui rêvent », se justifie par la perspective de l’Arcanecout. Ce pays n’est-il qu’un rêve ou permettra-t-il à leurs espoirs de voir enfin le jour ?

J’ai aimé lire le second tome mais un peu moins que le premier. Les chapitres consacrés à l’Indien m’ont moins intéressée, je les trouve moins palpitants, moins mystérieux. Toutefois, ayant lu le troisième tome dans lequel, Elan-Gris joue un rôle prépondérant, j’avoue qu’il était impossible de contourner ce personnage dans le tome 2. (Le tome 3 est divin de plaisir mais je vous en parlerai la prochaine fois).

Je vous recommande donc ce livre, seconde partie des aventures de Jean et Clara, « Ceux qui rêvent ». Sa lecture vous procurera certainement détente, plaisir et piquera votre curiosité. Comme moi et grâce à Pierre Bordage qui maintient le suspense, vous aurez envie, que dis-je, vous voudrez absolument lire la dernière partie : « Ceux qui osent ».

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PIERRE BORDAGE, CEUX QUI OSENT

Voici la dernière partie des aventures de Jean et de Clara.

La guerre, qui  menaçait le pays d’Arcanecout (pays libre et idéal) où s’étaient réfugiés les héros en compagnie de leurs amis, Elan Gris, Elmana et Nadia, est déclarée.  La liberté est à nouveau menacée. Jean et Elan Gris partent au combat, les femmes restent et tentent de survivre. Les vivres manquent et le gouvernement n’a pas  vraiment conscience de ce qu’endure la population affamée, menacée par des bandes peu scrupuleuses. Sur le front, la situation n’est pas meilleure pour Jean et Elan Gris, confrontés à un commandement peu efficace. De plus, l’ennemi est redoutablement armé et les rangs de son armée ne cessent de grossir.  L’issue de la bataille semble une évidence mais personne ne renonce, prêt à lutter pour cette liberté qui leur est chère. Clara, quant à elle, redouble d’ingéniosité pour subsister. Fine observatrice, elle s’aperçoit que leur adversaire est bien plus proche qu’il n’y paraît, menaçant même de les attaquer grâce à un sous-marin qui frôle leurs côtes. Elle tente d’alerter les autorités, en vain.

Clara, comme Jean, pourtant à deux endroits fort éloignés, seront retenus prisonniers et le lecteur craint bien évidemment pour leur vie. Survivront-ils à cette guerre ? Parviendront-ils à se retrouver ? L’issue du roman donne la réponse.

Des trois tomes de ce roman, c’est le deuxième, « Ceux qui rêvent », qui m’a le moins plu. Ce dernier, « Ceux qui osent » est bien plus captivant, comme l’était le premier. Grâce à sa structure puisqu’il s’agit d’un récit épistolier (par lettres). Nous lisons la correspondance échangée entre Jean et Clara qui s’aiment plus que tout et désirent se retrouver. Bien entendu, nous lisons ces lettres en alternance ce qui permet à Pierre Bordage d’assurer ainsi le suspense car lorsqu’une lettre s’achève sur un problème, il faut attendre quelques pages avant d’en connaître la suite, voire l’issue. Cela change aussi des deux premiers romans. Les rebondissements sont nombreux et l’ensemble fort logique dans le déroulement de l’intrigue.

J’espère donc vous avoir convaincu(s) de lire cette trilogie, plaisante, facile à lire, distrayante, qui permet aussi une réflexion sur les comportements humains de décideurs contemporains.

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GUILLAUME MUSSO, (plusieurs titres)

Je le sens, je le sais, je vais m’attirer des foudres avec cet article. Sans mauvais jeu de mot j’ai envie de dire Et après (c’est justement le titre du premier roman que j’ai lu de cet auteur) !

Musso est très critiqué, très envié, très productif et je renouvelle mon « et après » ?

Le premier roman que j’ai pu lire de Guillaume Musso Et après (bon, ça va vous suivez bien), m’a intriguée. Le suspense qui m’est cher était au rendez-vous et je l’avoue, parvenue au milieu du roman j’ai eu envie d’aller lire la fin, trop impatiente de savoir ce qu’il allait advenir des protagonistes de cette histoire. J’ai succombé à mon envie et j’ai lu le dénouement avant, ce qui ne m’a pas empêchée de reprendre ma lecture et de finir le roman. Belle histoire dirai-je, que cet amour déchiré parce que dans le couple dont il est question l’un a, sans le savoir, la capacité de connaître le devenir de ceux qu’il rencontre. Je vous conseille cette lecture, source d’évasion, de rêves  et de larmes pour les plus sensibles. Le film tiré du roman est quant à lui un peu pâle, comme c’est souvent le cas d’ailleurs, mais il se laisse voir, gommant ici et là les reliefs de l’histoire.

Alors pourquoi certains attaquent-ils Guillaume Musso ? Je répondrai dans le désordre :

–  Jalousie. Alors qu’eux-mêmes écrivent sans parvenir à percer. C’est difficile à admettre mais doit-on pour cela rejeter l’écriture des autres ? Pas en ce qui me concerne. Il publie, il a du succès, tant mieux pour lui. Il le mérite puisqu’il suscite les passions.

– Qualité de l’écriture. Il est vrai que l’écriture est relativement simple, pauvre en figures de style (je parle là en professionnelle),… lieux communs…. C’est vrai MAIS au nom de quoi peut-on dire que ses romans sont mauvais ou pauvres ou insignifiants parce qu’ils ne relèvent pas d’une écriture universitaire dotée d’envolées lyriques ou qu’ils boudent la rhétorique cicéronienne ? Ce qu’écrit Guillaume Musso plaît et ce sont ses lecteurs qui, en lisant ses livres dès leur sortie, laquelle est toujours attendue avec impatience, qui en sont la plus belle preuve. Au nom de quoi quelques prétendus érudits ou critiques littéraires s’arrogeraient-ils le droit de jeter ses romans dans la fange quand la population exprime le plaisir qu’elle a a lire ses histoires ? On a le droit d’aimer, de ne pas aimer tel ou tel roman mais pas celui de salir parce que l’on juge l’écriture facile. Qu’est-ce qu’une belle écriture finalement (prochain sujet du bac de philo ???).

– Pas d’engouement pour ses histoires. Soit, il ne faut pas insister dans ce cas et lire autre chose. Certains aiment, d’autres pas et personne ne détient la science exacte de l’écriture. L’alchimie qui fait que tout le monde aime n’existe pas ou s’appelle la tyrannie.

En préparant l’agrégation j’ai dû lire « Les mémoires du Cardinal de Retz » et bien d’autres oeuvres et en les lisant je me disais que puisqu’on me demandait de les travailler, elles seraient susceptibles d’être présentées à des élèves dans les classes et donc que certains avaient jugé de leur qualité… Au secours, au secours, je ne veux pas être lapidée par mes élèves !  Comment leur faire aimer la littérature en leur proposant des oeuvres dignes d’oraisons funèbres, qui tiennent peut-être stylistiquement la route mais qui donnent aussi la nausée (non, pas celle de Sartre !).Je me suis moi-même ennuyée à la lecture de ce supplice et je devrais faire aimer ce livre aux élèves quand j’ai eu envie de le jeter.  Une belle écriture est-elle nécessairement une bonne écriture ?  Je ne nie pas que l’on puisse aimer les mémoires dont je viens de parler et qui ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres mais il est encore heureux que « tous les goûts soient dans la nature » et que, par conséquent, l’on puisse détester sans dire pour autant que c’est mauvais.

Je reviens donc aux oeuvres de Guillaume Musso. Vous avez aimé ses premiers romans, vous apprécierez les autres. Certes ils ont des points communs mais vous vous laisserez emporter de la même façon à chaque fois. Vous n’aimez pas Musso, c’est votre droit, vous avez tant d’autres auteurs à votre disposition pour vous satisfaire. Mais ne crachez pas dans la soupe. Il est si facile de cracher dans la soupe des autres quand soi-même on ne se dévoile pas ! Combien de livres ou de films ont été hués par la critique alors qu’ils ont passionné des générations. Il faut laisser au lecteur son plaisir de lire, quelle que soit la source de ce plaisir et quand bien même celui-ci ne repose que sur l’intrigue que certains pourraient trouver convenue.

Vous souhaitez lire des livres de Guillaume Musso, voici quelques titres. Puisez et rêvez :

Et après, Un couple désormais séparé. Lui rencontre un individu étrange qui va lui apprendre ce qu’il est vraiment et pourquoi il n’est pas mort étant enfant. Il va faire une découverte surprenante et tenter de déjouer la mort qui s’est immiscée dans sa vie . Celle qu’il aime toujours en dépend.

Sauve-moi, Deux êtres seuls se rencontrent et s’aiment mais elle doit partir. Son avion explose…

Que serais-je sans toi,  Une jeune femme, son père et un amour pour un voleur, une course poursuite.

Je reviens te chercher, Parce que je t’aime, La fille de papier. Il doit y avoir d’autres titres mais j’ai prêté tant de livres qu’il m’en manque je crois !

Je ne les résume pas tous de crainte de m’égarer car, si je les ai tous lus, il y a longtemps et j’ai oublié certains aspects de l’histoire. Que cela me serve de leçon, d’habitude je fais des synthèses écrites de mes lectures et dans ce cas, probablement emportée par les récits palpitants, je ne l’ai pas fait. Il me semble qu’il me manque un titre notamment, et il s’agit pourtant de l’histoire qui m’a le plus plu. Un homme rencontre son double, le prend pour un fou quand celui-ci le met en garde. Je retrouverai le titre pour vous l’indiquer.

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2 réflexions sur “CONSEILS DE LECTURE

  1. Si tu as quelques tuyau au niveau lecture j’aime bien le style le Marc levy.Je ne connais pas Amélie Nothomb…..quel est le style de son écriture?J’aime quand il y a du suspens,quand l’écriture est simple….ton style quoi!Ou bien sur l’histoire…

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    • Bonjour Mélanie,
      C’est très sympathique de ta part de dire que tu aimes mon style comme celui de Musso. Tu apprécies le suspense ! Justement je me mets toujours à la place du lecteur pour l ‘intriguer et mon écriture est volontairement simple pour « glisser » en lecture. Pour découvrir mes conseils de lecture ou mes avis il faudra consulter la partie « bibliothèque » de mon blog que je publierai prochainement pour tenter d’aider mes lecteurs dans leurs lectures en attendant qu’ils puissent lire mon roman. Oui il paraîtra et je ne manquerai pas de vous tenir informés. En attendant bonne lecture !

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